Art is what disturbs! Is it always necessary to identify to love? The bluring, in Catherine Metz's painting, is a conscious refusal of the concrete experience and rationality of the established things.
The artist hates the established things: it is necessary to disturb to reconstruct! The bluring is a "non picture" and reveals a creative resistance. It is positive, it is the metaphoric sign of the art. it allows to raise an intimate subject with modesty and sensibility... It is an impossible focusing with the will to translate " the éphémérité " (Short-lived moments) of the real-life experience and the feelings.
Catherine Metz's bias seizes the movement in a personal improvisation and reveals incomplete fragments of existence in colored vibrations.
Le flou, dans la peinture de Catherine Metz, a pour vertu celle d’être un refus conscient face à l’expérience concrète et rationnelle des choses établies. L’artiste déteste les choses établies : il faut déranger pour reconstruire ! Le flou est un NON visuel au rationnel et révèle une résistance créa-tive, il est positif, il est le signe métaphorique de l’art. Il permet d’aborder un sujet intime avec pudeur et sensibilité ... C’est une mise au point impossible avec la volonté de traduire « l’éphémérité » du vécu et des émotions.
Le parti pris de Catherine Metz saisit le mouvement dans une improvisation personnelle et fait apparaître des fragments incomplets d’existence, des vibrations colorées.